L’adolescence – un bel âge, mais il y a aussi des dangers mortels

Si tu as entre 12-18 ans, ces lignes te concernent. Tu es arrivé à l’âge où certaines choses qui te semblaient être si mystérieuses commencent à s’éclairer. L’éducation scolaire t’aide à comprendre ta propre dimension corporelle, et, par les frissons que tu sens dans ton cœur pour telle fille ou tel garçon, tu commences à sentir le pouvoir d’aimer et d’offrir.  

Malheureusement, la société où l’on vit t’enseigne que la sexualité (que tu devrais avoir la patience et la sagesse de découvrir dans le rythme de la succession de tes âges) est permise à partir des âges de plus en plus jeunes. Tu apprends du « sexe » à la télé et dans la rue, et à l’école tu risques de « découvrir » la sexualité sous la « protection » de quelques petites pilules destinées à empêcher le résultat normale de la rencontre corporelle entre une « elle » et un « lui », c’est-à-dire l’apparition d’un embryon (le futur bébé). On comprend bien que tu n’as pas encore l’âge d’avoir un enfant, mais pourquoi donc entrer dans une vie qui sera la tienne plus tard, au prix de vies humaines ? Car désormais tu es censé  recevoir à l’école des pilules (des médicaments ? un faux nom en réalité, parce qu’ils n’apportent pas la santé, mais, par contre, ils la tuent) contraceptives qui ne font que tuer ce qu’une relation sexuelle, commencée, oh ! de manière si prématurée, a comme résultat : la vie d’un nouvel être humain comme toi-même.

Je te le conseille de tout coeur, ne prête pas l’oreille à des conseils que tu reçois sans que tes parents sachent : demande-leur toujours si ce qu’on te recommande est bon ou pas pour toi ! Combien des jeunes filles ne deviennent-elles pas criminelles à partir des âges si tendres, de l’âge du premier amour ! Quelques années plus tard, tu regretteras terriblement. Vis vraiment ton adolescence, donne-toi du temps pour construire une amitié et une camaraderie sans l’ombre de cette passion corporelle induite si souvent d’une façon prématurées par les medias ou tes entourages. A ton âge, ce n’est pas une exigence de dépasser certaines limites de la bienséance et de la candeur spécifiques à la vraie adolescence. Et si tu as le sentiment que tes parents ne peuvent pas t’écouter, dévoile tes inquiétudes à un père spirituel qui gardera tout ce que tu lui diras et qui saura te protéger contre une perte de la misère spirituelle. L’adolescence est trop belle pour la traîner dans la boue !

Bibliographie utile pour ton âme :

http://www.lemonde.fr/sante/article/2012/12/14/marion-larat-l-injustice-transformee-en-combat_1806475_1651302.html#xtor=AL-32280515

PARIS (Reuters) – Les contraceptifs seront gratuits pour les mineures en France à compter de 2013 et les interruptions volontaires de grossesse (IVG) prises en charge à 100% par l’assurance maladie.

Les députés ont adopté vendredi un article en ce sens dans le cadre de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2013.

Le coût de cette mesure, précise le rapport de la commission des Affaires sociales de l’Assemblée, s’élèvera à 16,73 millions d’euros.

Un amendement de l’UMP Dominique Tian, membre de la Droite populaire, qui proposait de supprimer cet article a été rejeté par 90 voix contre 6. Tous les groupes, y compris la majorité du groupe UMP, ont voté contre cet amendement de suppression.

Les députés ont également adopté un amendement de Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, qui prévoit le remboursement à 100% de la contraception -dont la pilule- pour les jeunes filles âgées de 15 à 18 ans.

En 2009, a dit la ministre, 11.679 IVG ont concerné des jeunes filles âgées de 15 à 18 ans et cette mesure de gratuité concernera une population de 1.139.000 personnes.

A population constante et à structure de consommation actuelle de contraceptifs, la gratuité de la contraception chez les mineures impliquera un coût additionnel de 5 millions d’euros.

L’examen par les députés du PLFSS 2013 devrait s’achever vendredi soir. L’Assemblée se prononcera mardi par un vote solennel sur l’ensemble du texte que le Sénat examinera à compter du 12 novembre.

Emile Picy, édité par Sophie Louet

Leave a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *